Francis Cabrel

Petite Sirène (tradução)

Francis Cabrel


Chora pequena sirene, a cidade dorme ainda, a Tua história começa


mal.

Chora pequena sirene, o dia espera parte, nas brumas das fontes.

Esta manhã é tão clara, Este silêncio é tão suave, palavras de

homens flutuam no ar, todos têm encontros.

A noite passou toda, Escavada sobre as nossas faces.

Rasgas muito de um traço de luz, e é de repente a vida...

A vida de repente.

Chora pequena sirene, a cidade dorme ainda, a Tua história começa

mal.

Chora pequena sirene, o dia espera parte, nas brumas das fontes.

Aquilo vê-se que vens nos anjos és-se bonito como todo.

Aquilo vê-se que as nossas maneiras incomodam-no, e estas luzes por

toda a parte.

Qualquer estes fantasmas que tocam-no, Estas mãos que agitam-no, Esta

lufada de ar frio na tua boca é de repente a vida...

A vida de repente.

Chora pequena sirene, a cidade dorme ainda, a Tua história começa

mal.







































Petite sirène


Pleure pas petite sirène,

La ville dort encore,

Ton histoire commence à peine.

Pleure pas petite sirène,

Le jour attend dehors,

Dans les brumes des fontaines.

Ce matin est si clair,

Ce silence est si doux,

Des paroles d'hommes flottent dans l'air,

Tout le monde a rendez-vous.

La nuit est passée toute entière,

Creusée sur nos joues.

Tu déchires tout d'un trait de lumière,

Et c'est la vie tout à coup...

La vie tout à coup.

Pleure pas petite sirène,

La ville dort encore,

Ton histoire commence à peine.

Pleure pas petite sirène,

Le jour attend dehors,

Dans les brumes des fontaines.

Ça se voit que tu viens de chez les anges

T'es belle comme tout.

Ça se voit que nos manières te dérangent,

Et ces lumières partout.

Tout ces fantômes qui te touchent,

Ces mains qui te secouent,

Cette bouffée d'air froid dans ta bouche

C'est la vie tout à coup...

La vie tout à coup.

Pleure pas petite sirène,

La ville dort encore,

Ton histoire commence à peine.

Pleure pas petite sirène,

Le jour attend dehors,

Dans les brumes des fontaines.

Voilà que tu viens comme une reine,

Juste à la pointe du jour,

Avec dans son écho de porcelaine,

Ton appel au secours.

Comme un signal pour que s'égraine,

Ce temps qui s'enfuit à son tour,

D'abord les heures, les jours, les semaines,

Et puis les années d'amour...

Les années d'amour.

Pleure pas petite sirène,

La ville dort encore,

Ton histoire commence à peine.

Pleure pas petite sirène,

Le jour attend dehors,

Dans les brumes des fontaines.

Pleure pas petite sirène...

Pleure pas petite sirène,

Le jour attend dehors,

Dans les brumes des fontaines.


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