Tu ne rêves que d’ambitions, de vraies situations
D’une histoire sans défauts, de ces stars
au bord de l’eau.
Ces clichés sans saveur, ces rêves qui me font peur,
Ces images sans couleurs, mais où se cache
le bonheur ?
La vie est un mystère, une enfant de Bohème,
si tu insistes encore,
Je fuis déjà…

Retiens-moi, à tout ce qui m’échappe
Accroche-moi à tous tes sourires
Enchaîne-moi à un goût de liberté
On n’a rien de ce que l’on veut posséder.

C’est maintenant ou jamais, oublier qui tu es,
ne pas se retourner
Pour voir tout ce que tu as, c’est trop de certitudes,
Et tellement d’habitudes, c’est avoir presque tout un jour,
Mais pour aller où ?
La vie est un mystère, une enfant de Bohème,
si tu insistes encore,
Je fuis déjà…

Retiens-moi, à tout ce qui m’échappe
Accroche-moi à tous tes sourires
Enchaîne-moi à un goût de liberté
On n’a rien de ce que l’on veut posséder.

Oublie-moi un peu pour mieux me retenir,
quand tu me désires trop,
Je m’ennuie à mourir,
Approche avec les yeux fermés, enchaîne-moi encore à un goût de liberté
Retiens-moi encore à tout ce qui m’échappe,
quand tu me désires trop,
Je m’ennuie à mourir,
Approche avec les yeux fermés, car on n’a rien
de ce que l’on veut posséder.

C’est quand tu n’as rien à m’offrir, que tout en toi m’attire,
Et partout de l’argent qui se prend pour de l’or …
Tout ce qu’on nous propose, c’est sans métamorphose,
C’est avoir des raisons, d’en avoir encore …
La vie est un mystère, une enfant de Bohème,
si tu avances d’un pas,
Je fuis déjà…

Retiens-moi, à tout ce qui m’échappe
Accroche-moi à tous tes sourires
Enchaîne-moi à un goût de liberté
On n’a rien de ce que l’on veut posséder.

Oublie-moi un peu pour mieux me retenir,
quand tu me désires trop,
Je m’ennuie à mourir,
Approche avec les yeux fermés,
Enchaîne-moi encore à un goût de liberté.

Retiens-moi encore à tout ce qui m’échappe,
quand tu me désires trop,
Je m’ennuie à mourir,
Approche avec les yeux fermés,
Car on n’a rien de ce que l’on veut posséder.